
Vos questions, nos réponses
Parce que la protection contre la foudre suscite souvent des interrogations, nous avons réuni ici les réponses aux questions les plus courantes de nos clients.
Législation, obligations, subventions, fréquence des contrôles, démarches administratives… Cette section vous aide à faire la part entre ce qui est obligatoire, ce qui est recommandé, et les bonnes pratiques à adopter. Vous y trouverez des explications claires pour mieux comprendre vos responsabilités et les solutions que nous proposons.
Avec Léman Paratonnerres, vous êtes accompagné à chaque étape, en toute sérénité.
Est-ce qu’un paratonnerre prévient la frappe de la foudre ?
Non. Le paratonnerre n’empêche pas la foudre, mais il intercepte et canalise l’énergie vers le sol pour éviter les dégâts (incendie, surtension, danger pour les personnes).
Est-ce qu’il y aura des câbles visibles sur mon toit ?
Pas nécessairement. Selon la configuration du bâtiment, nous pouvons camoufler ou intégrer les descentes de câbles pour un résultat soigné et discret.
Faut-il prévoir des travaux lourds ?
Non. Nos installations sont discrètes, sans démolition, et s’adaptent à la structure du bâtiment. Tout est pensé pour limiter l’impact visuel et structurel.
À combien peuvent se monter les coûts ?
Le prix dépend du type de bâtiment, de sa hauteur, et du niveau de protection requis. Pour une maison individuelle, comptez en moyenne entre CHF 2’000.– et 4’000.–, installation comprise.
Pourquoi faut-il un contrôle régulier ?
Un contrôle garantit que votre système reste efficace, conforme et sécuritaire. Selon le type de bâtiment, la fréquence est fixée à 3, 5 ou 10 ans, en accord avec les normes en vigueur.
Puis-je obtenir une subvention ?
Oui, certains cantons ou communes proposent des aides financières pour l’installation d’un paratonnerre. Nous vous aidons à vérifier votre éligibilité et à constituer le dossier.
Est-ce obligatoire d’installer un paratonnerre ?
Pas toujours. Pour les maisons individuelles, cela reste une recommandation. En revanche, pour les bâtiments professionnels, publics ou agricoles, une étude de risque est obligatoire, et peut conclure à la nécessité d’une installation.